Disco time!
Check out the new video of the Tuur Florizoone Trio, featuring Nicolas Fiszman on bass and Etienne Plumer on drums.
Recorded live at Marni Theatre (Brussels) in sept 2020 by Pascale Snoeck, filmed and edited by Joop Pareyn and mixed by the accordionist.
Ladies & Gentlemen: DISCO TUUR!!!
NIGHT SHIFT Revisited
Je ne suis certainement pas resté oisif en cette période difficile, rythmée par le Corona. En effet, en novembre 2020, j’ai lancé mon album solo “Night Shift” qui est sorti sur mon propre label “Aventura Musica“. j’ai pu, par la suite, donner 2 concerts à l’épreuve des mesures sanitaires, sous la bannière JazzLab. Sous le nom de projet “Night Shift Revisited“, j’ai récemment demandé à des artistes de choisir un morceau de mon album solo. Un morceau qui les séduisent et les inspirent particulièrement.
Mais, plus précisément, je leur ai demandé comment cette musique peut influencer leurs comportements, leurs pensées et leurs capacités dans leur travail personnel. Ils ont été filmés, pendant leur processus d’interprétation et de création, par une équipe de cinéastes composée de Laura Zualaert, Valéry Faidherbe et Bart Zwysen. Parfois, j’ai joué de la musique live et, parfois, l’enregistrement de l’album a été utilisé.
Les 6 artistes, choisis avec soin, sont tous des personnes avec qui j’ai tissé de bonnes relations au fil des ans et que j’admire pour des raisons très différentes. Il s’agit du photographe Magnum Harry Gruyaert de l’écrivain Herman Leenders en trio avec le dessinateur Pieter Fannes et la comédienne Jessa Wildemeersch de l’artiste Annelies Vanhaverbeke de quelques étudiants prometteurs de P.A.R.T.S (School for Contemporary Dance) ainsi que du chorégraphe et inventeur Ugo Dehaes.
Je suis très curieux du résultat final, car la musique de cet album solo est différente des structures mélodiques et des arrangements raffinés qui sont connus dans mon travail de groupe et très reconnaissables sur les dix albums précédents. Après tout, la plupart de ces compositions sont le résultat d’improvisations nocturnes, lors du dernier confinement, et elles peuvent être décrites comme des paysages sonores cinématographiques et intimes avec une approche plus impressionniste.